Draft “Au moins black cat ne l’aura pas ». Chaque club que j’ai drafté n’a pas pu tomber dans l’escarcelle de black cat. Un thème complété avec succès.
Je m'en tenais à la polis stricto sensu, mais l'actuel Petrovac na Moru devait bien faire partie de la chôra de Bouthoé. En tout cas, c'est pas en Épire du Nord.
Pour Surdulica, ça doit se jouer entre la Dardanie et la Thrace, je pense. Pas certain que ça te rassurera, mais en serbe, "Surdulica" est le lieu du surduk, le lieu du précipice, de l'abîme ;-)
Voilà une draft Hatem bien érudite, ça change de la plupart !
Je découvre que notre nouvelle pépite qui vient de signer son premier contrat pro à 16 ans, Brian Madjo, est le fils de Guy Madjo, un footballeur qui a eu une belle carrière molle entre divisions inférieures anglaises, Chine, Albanie, et Hong-Kong.
Reste à voir maintenant si son fils est un futur Vincent Thill ou un futur Miralem Pjanic !
Et y a un tout petit bug sur la page en mode "Les mous les plus trophéisés par Ligue" : si pour l'Albanie, je clique sur Bouletor puis sur roger rabine, ça n'affiche rien (sauf à cliquer deux fois sur roger rabine), alors que ça devrait afficher roger rabine à mon avis.
On revoit déjà nos ambitions à la baisse ici. Défaite en match de préparation pour les turcs de Göztepe contre le CSKA Sofia et ça gueule dur sur les internets A priori les brasilous c’est pas les couteaux les plus affûtés du tiroir selon les fans. On espère finalement un 1,2
Je voulais Warri Wolves et le pari est gagnant. Enfin pour l'instant ! J'ai le club que je voulais, mais ils vont peut etre faire une saison catastrophique
Ah, Toni Turek, pour rappel deux de mes trophées sont "dernier du championnat d'Albanie" : Kastrioti Krujë en 2023 et Kamza en 2020. Je suis un expert en club mou d'Albanie. Donc je serais Bylis, je commencerais à chier dans mon froc...
(au fait pourquoi la majeure partie de mes trophées commence par "Dernier du championnat de..." (13 d'affilée depuis 2019 quand même...) et pourquoi je finis toujours en Division 3? Corrélation, causalité, punition divine?
Suivant la trend molle à laquelle on ne peut qu'adhérer, retour à chaud sur cette draft 2025/2026 :
1. Olympiakós Pireós
Drafter en 18ème c’est haut, mais pas trop. La nostalgie du pick Tout Puissant Mazembe en 2019 s’empare du GM alors que les New Saints sont partis. Mais on se plaint pas de récupérer les corrupteurs Grecs sûrs et leur recrue star Rémy « RC7 » Cabella.
2. Wydad Casablanca
(A)mine de rien, le Maroc fait partie de mon top10 des championnats draftés (la force du lobbying graulen), et pour une fois très haut avec ce Wydad un peu décevant la saison dernière. On mise sur le réveil d’un historique pour assurer un deuxième club à 2 de mouyenne.
3. Jagiellonia Białystok
Obligatoire sur le contrat, la draft polonaise arrive bien souvent sur les derniers tours mais j’en ai eu marre de jouer le maintien avec des Lechia, des Puszcza et des Śląsk. Le Jaga sort de deux énormes saisons et d’un beau parcours en Conference League. Un pick un peu optimiste et un poil trop haut mais qui devrait nous éviter le stress le week-end sur One Football et ses trois matchs d’Ekstraklasa gratuits.
4. Bali United
A partir de là, ça devient aléatoire mais j’ai développé une aversion pour les choix qui assurent un 1,4 sans perspective de bonne surprise. Nouveau championnat, arpenté par l’ex-beau frère en son temps, grande ville, moyennes fluctuantes ces dernières années, on opte pour ce pari indonésien.
5. Barry Town
Hors de question de me le faire piquer, c’est le moment de lui faire enfiler sa laisse.
6. Green Buffaloes
Gros risque, grosse récompense (comme on dit en anglais) ? Ça commence à faire beaucoup de choix extra-communautaires, ça me ressemble pas trop mais on sait où il faut drafter dans les tours 4 à 10 pour récolter de bonnes surprises.
7. Vitesse FC
Après la Zambie, retour chez les Francophones et au Burkina, pays de la famille de ma nièce, inauguré par la VML cette saison et où je voulais absolument aller. D’autres clubs étaient sur ma liste sur les deux tours précédents, en vain. On prend ce qu’il reste et le nom est cool.
8. Kocaelispor
Croyez-le ou non, j’avais même pas remarqué que la Turquie était LARGEMENT mon pays le plus visité. Championnat où les valeurs sont connues pour évoluer chaque saison, il promet de sourire aux audacieux, d’où le besoin impératif d’y aller, quitte à drafter un promu. Mais ancien habitué de la Superlig, et où Massadio Haidara vient de signer (il jouera 10 matchs entre 5 blessures).
9. Mamer
Trop d’aventures sur tous les continents, j’avais besoin de rééquilibrer cette draft avec des européens. Comme chaque année, on termine avec 2 ou 3 promous, ici un novice total en D1 et un nom imparable. Parfait.
10. Bashkimi
Allait-on connaître la première draft sans yougo depuis l’origine ici ? Merci au Bashkimi d’avoir tenu jusqu’à tomber dans notre escarcelle, mais dommage de ne pas avoir vu cette affaire de corruption présumée sur la fin de saison en D2, qui promet une sanction prochaine qui pue sa mère.
Au final, au moins quatre clubs qu'on pourra streamer sans trop de difficulté, c'est bieng.
J'aime beaucoup ce petit mouvement d'explication des drafts de chacun, mêlant arguties thématiques, ambitions au trône suprême et autres argumentaire rationnellement foireux tirés de l'inventaire du lecteur ou d'une analyse algorithmique d'un serveur informatique.
Rien de tout ça ici, de l'arbitraire et de l'émotion, que de l'intelligence naturelle.
A mon tour de me prêter au jeu
1 - Ferencvaros … est ce que ça étonnera quelqu'un - tour 11 , 11 e draft , ça sent le 1.1111
2 - Kenya Police - Puuuuutttttaaaaiiiinnnn , Putzi merde fallait me laisser Chelsea … bon ben mon thème est niqué ( refaire exactement la même draft que l'an dernier) ? 1 heure pour trouver un club ... Tiens un champion africain dispo ... allez je prends
3 - Saint Georges's Colts - Les flingues de Saint George - je n'ai pas poussé pour les bermudes pour ne pas y aller. Une chance de titre dans ce championnat très ouvert. 2 podiums dans les 3 dernières années , la meilleure performance restant une deuxième place en 1970 ? on y croit !
4 -Enugu Rangers - champion 2023-2024 - une année suivante un peu compliqué dans ce championnat ou l'on peut être relégué avec 1.25 de mouyenne . Néanmoins ils auront atteint le dernier carré en coupe du nigéria éliminé par le futur vainqueur.
5- Radnicki 1923 - je renoue avec mon thème perdu en draftant le meme tour 5 que l'an dernier. Longtemps 3e de la ligue serbe ils ont tout de même infligé la pire défaite jamais subi en VML par l'étoile Rouge( 4-1) , On fait podium cette année ?
6- East Bengal - J'ai pris ça moi ? bon alors y a un mec qui a joué 17 minutes de ligue 1 , un attaquant grec avec 5 sélection , et on vient de recruter un defenseur indien pour 31 milles euros. ok!
7- LNZ Cherkasy - J'ai bien aimé ma saison ukrainienne l'an dernier avec le karpaty Lviv , je fait le pari que la troisième saison dans l'élite va bien se passer.
8- Brisbane Roar - Je voulais Qabala , mais j'ai été honteusement pillé par Vieux pré ( qui veut également me voler ma place au board). Restait un truc dans ce championnat un peu naze , mais ça doit aller mieux puisqu'ils ont enfin décidé de foutre Florin Bérenguer à la retraite.
9- Flamurtari - Allez on va vers les promus. En plus un ex et un monument. Venez la mes petits albanais on va tout casser ensemble.
10- Santa Green - Y avait plus grand choix - le botswana c'est pour moi une terre d'audace et un territoire déja mille fois vue. 2 titres de vice-champion à l'envers, entre 0.6 et 0.75 à chaque fois. Jamais 203 ?
Troisième et probablement avant-dernier bilan de la saison, à un peu plus de 3 mois de la fin. Petit tour des stades...
Informations générales
En tête au premier intermédiaire (Bilan #2), Le Chalençon a connu une chute de 1.90 point de moyenne (plus grosse chute molle), l’emmenant dans le ventre mou avec un peu plus de 14 de moyenne. Alors 2e, Strass(bourg) et Payet a donc pris le pouvoir, toujours suivi de jeannolfanclub et Alain Delon? Non, Alain Deroin. Ces 3 Mous ont en effet des variations de moyenne de 0.1 sur les 3 derniers mois, ce qui est impressionnant de stabilité.
La plus grosse progression est l'œuvre du désormais 4eme de la LVMH, Gourouli Janvion sur le Chimbonda, qui a progressé de 1.93 de moyenne, grimpant depuis la 29e place. Autres progressions notables, Eviv Bulgroz qui se rapproche du top 10 avec +1.1, mais aussi RobertoLarcos et fluxke, qui gagnent tous deux +1.0 de moyenne mais restent respectivement avant-dernier et dernier. Du côté des chutes, on retrouve Duffy contre les Vampires avec -1.4 de moyenne qui lui fait quitter le top 10, et Ô Mexico avec -1.0 qui envoie notre premier vainqueur dans le ventre mou.
Au niveau des classements par mois, voici où nous en sommes :
Février - Plouky - 2.33
Mars - chapoto - 2.19
Avril - Claude Lemourinho - 1.84
Mai - revlog - 1.92
Juin - Putzi - 1.96
Juillet - saviNono - 1.91
Août - Gourouli Janvion sur le Chimbonda - 1.97
Nous n’avons que des vainqueurs différents depuis le début de cette édition 2023.
Les enjeux de la fin de saison
Ce dont on est presque certains :
- le 5e titre LVMH du Pakhtakor de FC Rien
- les sacres du Shanghai Port de Strass, du KÍ Klaksvík de tixuoty, du Víkingur Reykjavik de Plouky
- le MegaTop de Johor, mais le 3 de mouyenne est raté…
- des champions surprises au Kazakhstan, au Brésil, sans doute en Lituanie
- le palmarès LVMH d’Emelec (AWOL), pourtant 14 fois champion d’Équateur, qui restera désespérément vierge
- les seuls promous valables en Amérique du Sud sont au Pérou (Garcilaso, Cusco), encore que le Sportivo Trinidense peut encore finir avec une meilleure mouyenne, ou alors Luqueño… (non, rien)
- la relégation du Super Nova de personne
- une descente de l’UCD Dublin (fluxke) qui ne renouvellera pas l’exploit de l’an dernier
- une dernière place pour Riteriai (tixuoty) qui est retombé dans ses démons de 2020, un an après un 1.63 de moyenne.
- la quasi-disparition du Shenzhen de M.Meuble (pourtant, ça fait beaucoup de “E” dans la phrase)
- la non-victoire finale de chapoto qui ne succèdera pas à black cat, malgré un départ canon.
Ce qui va nous maintenir en suspens jusqu’à la fin :
- la Bolivie LOL
- le duel entre le Riga FC d’Eviv Bulgroz et le RFS d’Alain, autour de 2.5 de moyenne et ± 60 de différence de buts
- la lutte au Kirghizistan avec la moitié des équipes encore impliqués dans la course au trophée à l’endroit, et 3 clubs qui courent après celui à l’envers
- le parcours du Cobresal de jeannolfanclub au Chili qui doit encore tenir 8 matchs pour signer un nouveau titre, 8 ans après Dix joncs must hard (7 points d’avance sur Huachipato mais un match en plus)
- le championnat bolivien
- le combat à trois en Suède entre Elfsborg (revlog), Malmö (Putzi) et Häcken (CoiffeurRital)
- le maintien en Bélarus, avec le tenant du titre, le Shakhtyor Soligorsk du Chalençon qui doit encore reprendre quelques points pour finir en barrages
- la remontée de l’Inter Miami qui va ferrailler jusqu’au bout pour accrocher une place dans le Top 8 ou passer par les barrages pour les Finals MLS
- le sauvetage du Yokohama FC qui était pourtant à 0.3 de moyenne après 10 matchs, mais le Shonan Bellmare est maintenant en plus mouvaise posture
- la Liga Tigo du pays de La Paz.
- le moutien en Moulaisie entre le KKK, Kuching City, Kelantan FC et United, 23 points à eux trois, mais un seul se maintiendra en fin de saison
- la bataille entre une dizaine d’équipes pour le MegaFlop, c’est hyper serré cette saison !
- le nombre de trophées à l’envers pour le tenant en titre, black cat, qui est bon dernier en Suède (Varberg), mais peut encore briller mollement au Tadjikistan et aux États-Unis
- les champions Clausura au Panama, Paraguay et Colombie, pour accompagner respectivement CAI La Chorrera, Club Libertad et Millonarios.
- qui remportera le championnat vénézuelien et sa formule alambiquée.
- les développements du scandale de corruption dans le football en Bolivie.
Arrêt spectaculaire du gardien de Platense pour protéger le 2-2 à la 85eme minute du match (même si Central Cordoba gagnera finalement 3-2)
Coup franc du milieu de terrain rapidement joué par Ken Iwao de Urawa
On est dans les arrêts de jeu, relance à la main du gardien de plus 50 m qui se transforme en passe décisive après que l’attaquant élimine 3 joueurs, pour la victoire de Banfield devant Instituto.
Un match à 9 buts, c’est pas commun. Ici, c’est Paide vs Tammeka :
HamKam Bodo/Glimt: 2-0 à la mi temps, puis 2-1 jusqu’à la 60eme minute. Score à la 74eme ? 4-4, avec donc 5 buts en 13 minutes, ce qui sera le score final :
Et enfin, quand un gardien perd la trace du ballon, c’est toujours rigolo :
Alerte séisme
Le Pérou, situé entre la plaque de Nazca et la plaque Sud-américaine, est un pays très sensible aux tremblements de terre. C’est pour ça qu’il y a de nombreux simulacres dans l’année, en général vers 15h. Et quand il y a match, rien ne change, et tout le monde doit respecter les règles (pas une des forces des Péruviens). C’est ce qui est arrivé le mardi 15 août, durant les arrêts de jeu d’Unión Comercio contre Cienciano, alors qu’il restait 1 min de temps de jeu, et le match a dû s'arrêter le temps de se réunir dans une zone sans risque de chute de débris. Le lien de cette scène simili-sismique est ici.
LVMH en Coupe d’Europe
Saison
19-20
20-21
21-22
22-23
23-24
LDC (32 clubs)
0
0
1+1
0
0
Ligue Europa (48 puis 32 clubs)
3
2
0
3
2
Ligue Conference (32 clubs)
Non créée
Non créée
4
5
5
Total
3
2
5
8
7
Depuis la création de la LVMH, on note une progression dans les résultats des clubs de LVMH. Les premiers champions de l’édition 2018 de LVMH ont joué la coupe d’Europe 2019-2020 avec 3 clubs en Coupe UEFA, puis 2 l’année suivante. Les retombées commencent à arriver avec les champions 2020 en coupes d’Europe 21-22, puisque l’on retrouve 6 clubs de LVMH 2020, avec le cas particulier du Sheriff Tiraspol qui a rejoint la VML entre-temps, mais n’en reste pas moins un participant grâce à ses résultats en LVMH 2020. En 22-23, c’est désormais 8 clubs entre Europa et Conference Leagues, avant cette nouvelle édition qui comptera donc 7 clubs ! L’exigence molle a donc des résultats au niveau européen, et il serait bien /dur de le lier à l’apparition de la Conference League.
Nous suivrons donc cette année Molde de lhommedelapampa et Hacken de CoiffeurRital dans le groupe H de l’Europa League. Du coté de la Conference League, le KI Klaksvik de tixuoty sera dans le groupe A, Breiðablik de CoiffeurRital dans le groupe B, Astana d’Isaias dans le C, Bodø/Glimt de TerwelHazzukah dans le D et l’HJK de Scorbut et Correa dans le G.
Les blasons floristiques
Après le guide du Moutard, c’est le moment de voir les blasons qui nous font découvrir la flore typique de leur région. Pas de couronne de laurier ici, on veut des trucs qui poussent et qui ont un lien avec la région. On inclut les clubs passés en LVMH dont les championnats n’ont pas rejoint la VML. Les photos sont si possible tirées de photos des villes ou régions des clubs.
Notre voyage parmi la flore molle commence en Amérique du Sud, en Bolivie, tout au nord du pays, dans le département de Pando, dans la jungle amazonienne. On y retrouve le promou Vaca Díez de Tricky, qui grâce à son climat tropical humide, a de nombreux arbres dont le palmier sur le blason du club. En repartant vers le Nord, on peut s'arrêter à Machala, ville du club d’Orense de Gone Going, avec des bananes sur leur logo. Machala est connue comme la capitale mondiale de la banane, ce qui explique le choix de ce fruit. Au Vénézuela, les Fraijelones sont un genre de plantes endémiques de cette zone néotropicale d’altitude dans le nord du continent. Elles sont capables de résister aux difficiles conditions d’altitude, d’UV et de sécheresse. Leur nom vient du mot Fraile qui signifie moine, car apparemment ça y ressemble un peu (dans le brouillard). On retrouve cette plante sur l’écusson des Estudiantes de Mérida de Seven Giggs of Rhye.
Un peu plus au Nord, à Curaçao, le Dividivi, bien évidemment aussi connu sous le nom de Libidibia coriaria, est l’arbre national de l'île. Cet arbre est souvent tordu car sa croissance est affectée par les vents. Il pousse souvent sur le bord de mer, notamment les plages. Il est sur les blasons de 2 clubs curaciens, le Barber qui fut de Marf et le Victory Boys de Peguy_Roulyindula.
Aux Etats-Unis, au Texas, les tribus Comanche et Tonkawa se réunissaient sous 14 chênes-verts du Texas, puis en 1830, l’explorateur Stephen Austin en fera de même pour faire la paix et annexer le Texas. Des 14 chênes, il n’en reste plus qu’un dans la ville du nom de l’explorateur, le Treaty Oak, et l’arbre est un symbole de la ville et du club de RobertoLarcos.
Traversons l’Atlantique, pays connu pour ses trèfles irlandais. Il s’agit en fait de la feuille d’oxalis petite oseille, reconnaissable à ses feuilles en forme de cœur, alors que le trèfle a des feuilles rondes. Ce symbole du pays a donné son nom aux Shamrock Rovers de Gone Going, sur lequel on retrouve la fameuse plante à 3 feuilles. En continuant vers l’Est, on s'arrête en Finlande, pays recouvert de forêts, la plupart de grands pins. En finnois, les grands pins avec un tronc droit sont appelés des Honka. Ce qui nous rappelle bien évidemment le club de Seven Giggs of Rhye, sur le blason duquel on retrouve un de ces arbres.
Sur la route de l’Asie de l’Est, nous faisons un détour par Tashkent et sa vallée, où l’on fait pousser beaucoup de coton, la principale production agricole du pays. On retrouve la fleur du Pakhta (coton en turc ancien) sur le blason du Pakhtakor de FC Rien.
Les nénuphars à fleur blanche sont très utilisés en Asie, notamment pour la médecine et l’alimentation. Comme tous les nénuphars, ils poussent dans l’eau, et sont très résistants aux inondations et moussons. C’est notamment pour cette raison que cette plante est le symbole national du Bangladesh, et qu’on le retrouve sur les blasons des Abahani.
Bien qu’originaire du Brésil, l’Allamanda cathartica, notamment connu sous le nom d’allamanda jaune, est désormais très répandu dans les pays tropicaux, car c’est un arbuste qui pousse facilement et est très utile notamment pour faire des haies colorées grâce à ses fleurs jaunes. C’est notamment le cas en Malaisie, et on retrouve ses fleurs sur le blason du Kedah Darul Aman de saviNono, même si la raison du choix de ces fleurs était principalement esthétique. Plus au sud, la ville de Melaka aurait été fondée selon la légende en honneur à l’arbre sous lequel était assis son fondateur lors de sa décision, qui était un groseillier de Ceylan, qui a pour nom Malacca tree en anglais. Depuis, l’arbre est un symbole de la ville, et il est représenté sur l’écusson du Melaka United.
Notre dernière étape floristique nous emmène au Japon. Quand on pense Japon et fleurs, comment ne pas penser aux cerisiers ? Deux clubs en ont sur leur blason, le Kawasaki Frontale de black cat et le Cerezo Osaka de Tetsuo. Mention spéciale au club d’Osaka puisque Cerezo signifie cerisier en espagnol. Le Sakura est un type de cerisier ornemental, différent des cerisiers que l’on trouve en Europe notamment. Enfin, terminons par une plante spécifique à la province de Saitama, avec le primevère Sakurasou, plus connu en français sous le nom de primevère japonais. Cette plante pousse principalement dans le bien-nommé Sakurasou Park, et on fête la floraison de ses fleurs rose-fuchsia en fin de printemps-début d’été. On retrouve cette fleur sur le logo d’Urawa Red Diamonds de Loscoff_Plage.
Les joueurs de clubs LVMH
Suite de cette section à la con avec les joueurs qui portent un nom de club, cette fois européen. Alors, combien de footballeurs s’appellent Bodø/Glimt, Kuressaare ou Torpedo-BelAZ Zhodino, vous le saurez en lisant la suite.
La compo :
Bon, vous l’aurez compris, pas facile de trouver une équipe de patronymes renommée, contrairement à l’Amérique du Sud : il a donc fallu aller piocher dans des joueurs évoluant dans des clubs VML, actuellement ou dans le passé (coucou les Nancéiens !), voire dans des divisions inférieures, surtout pour les remplaçants.
On retrouve donc une attaque totalement biélorusse, avec Borisov, Brest et Gomel, qui ne risque pas de claquer énormément de buts vu leurs performances en club actuel, Borisov s’étant visiblement perdu en D3 de son pays.
Derrière eux, ce n’est assurément pas l’ancien Rémois Mitchell van Bergen qui va les alimenter en bons ballons, même s’il évolue dans un club plus huppé, sans toutefois être jamais allé plus haut que les Pays-Bas. Peut-être dans quelques années à Brann ?!
Pour le reste du milieu, fait rigolo, on trouve 3 joueurs de l’AB Argir qui s’appelent Skála, du nom du club du même pays, mais ils n’ont jamais joué là-bas : Ragnar, Rógvi et donc Bjarni, qui accompagnera le portugais Sérgio Oulu qui est passé par des clubs obscurs de Norvège et d’Islande mais toujours pas par la Finlande qui lui est pourtant prédestinée.
La Finlande qui est décidément pourvoyeuse de patronymes à la con parce qu’on trouve un Aleksi Honka-Hallila, un Joonas Turku, un Matias Lahti et plusieurs joueurs ou coachs (estoniens) nommés Ilves dans la base de données de Soccerway, non retenus car évoluant dans des clubs obscurs. Le seul joueur de Veikkausliiga en revanche complètement dans le thème LVMH évolue à Mariehamn et dirigera la défense de cette ékipalakon, il s’agit de Timi Lahti, 19 matchs et 2 buts cette saison, dont un contre… Lahti (2-3 au mois d’avril), la boucle est bouclée !
Pour l’accompagner derrière, on a quand même pris un Ilves, qui joue chez lui à Vaprus, un Italien qui a un nom de club géorgien, Nicola Gori, tout en jouant chez le Virtus san-marinais (le gardien de Monza, en VML, s’appelle Stefano Gori), ainsi qu’un Islandais titulaire au HK Kópavogur. Bon, là, on a un peu triché, car visiblement Valur est un prénom en Islande, on en trouve plusieurs à Keflavík, KR ou Akranes, mais le plus constant est Birkír Valur Jónsson. Il y a un autre Islandais avec ce prénom en Suède, à Sirius : Oli Valur Omarsson
Pour le gardien, même astuce, car on voulait un peu de pays baltes dans l’équipe, c’est donc le tour de Dziugas Bartkus, maintenant en Israël, mais qui a seulement joué au Zalgiris et au Suduva de son pays.
Pour finir, le coach. On a hésité avec l’ancien joueur, Johan Mjallby, mais il n’entraîne plus beaucoup depuis qu’il a quitté le Stockholm International, on a donc choisi de mettre un peu de Kazakhstan en la personne de Kairat Nurdauletov, qui est sur le banc du Maqtaaral depuis mai.
Les quelques remplaçants qui ont des patronymes scandinaves feront le nombre, dommage de ne pas avoir pu inclure l’anglais Finlay Shelbourne qui évolue visiblement à Prestatyn Town cette saison, mais pas plus d’infos sur lui. Sinon, on aurait eu presque tous les pays européens de LVMH, seule la Lettonie résistant à ce jeu stupide et chronophage.
Compétitions annexes
Livertamous
On en est aux quarts de finale pour succéder au Paide Linnameeskond d’Ô Mexico et à l’Abahani Limited Dhaka de pied. Le tirage des quarts est trouvable ici, sponsorisé par Radio Classique qui nous offre de beaux hymnes des clubs qualifiés.
Mouis Vuitton
Ce sont également les quarts de finale en Louis Vuitton, n’oubliez pas de poser vos jokers si l’un de vos promous est encore en lice.
Moundial
La grande finale verra s’affronter le redoutable Johor Darul Ta’zim d’Etienne Mattler et le Häcken du CoiffeurRital, celui-ci ayant déjà échoué tout près du but l’an dernier avec Tobol. Vu les calendriers, le titre de meilleur champion LVMH se jouera sur un match sec, dans 2 semaines : les Malaisiens affrontent le PDRM de chapoto le 27 septembre et les Suédois jouent le faible AIK de Gone Going le 1er octobre. Bonne chance à eux deux ! Tous les détails ici.
Mountada
L’ascension de septembre est en cours avec O Mexico et Plouky se disputant probablement la victoire finale à plus de 5000m d’altitude. Le bilan d'août est à ce lien.
Parions Mous
Le classement Parions Mous au 11/09 est assez serré avec le co-miniboardeur Ô Mexico en tête avec 72,80 de moyenne cumulée, grâce notamment à 5 choix de mous au-dessus des 14 de moyenne. Il est le seul dans ce cas. Aucun mou n’a trouvé plus d’un seul membre du top 5. En général c’est Putzi, pour 6 mous, et Alain a aussi été parié deux fois, dont une fois par lui-même.
Parieur
Total moy top5
Ô Mexico
72.7966
Plouky
72.2511
Etienne Mattler
71.5243
black cat
71.516
Claude Lemourinho
71.3891
Gone Going
71.1288
Alain Delon? Non Alain Deroin
70.4619
Guadalajara86
70.413
Umtiti et Grosminet
70.1739
Arthur33
70.077
Putzi
69.7281
TerwelHazzukah
68.57
Les écarts sont faibles, donc rien n’est encore joué !
Deux mois après, plusieurs questions ont été répondues, reste maintenant à savoir qui de jeannol ou d'Alain va succéder à blak cat, sachant que la défaite malaisienne du jour de Putzi le condamne vraisemblablablement aux places d'honneur.
Alain a encore :
- un match facile pour ses Lettons ce week-end, sa plus grosse moyenne
- 7 matchs en Bolivie pour son Always Ready actuellement à 1.8, avec des Blooming et Guabirá encore à affronter mais aussi The Strongest
- 2 matchs pour son AGMK à 1.75, mais il s'agit de Buxoro, déjà relégué, et Nasaf, 2e du classement, qui n'aura peut-être plus rien à jouer
- son tour 5, Kutaisi, a 4 matchs contre Telavi, le Dinamo Tbilisi, Shukura (relégué) et le Dinamo Batumi, qui sera déjà titré
- son Torpedo bélarus (1.72) se bat pour des places européennes, avec 3 matchs restants : Energetik-BDU Minsk (relégué), Minsk et le Dinamo Minsk, sûrement déjà titré au moment du match
- plus que Gwangju, Pohang et Incheon pour Daegu, il y a une moyenne de 1.4 à défendre
- Bragantino (1.87) a un gros calendrier, 7 matchs dont São Paulo, Botafogo, Flamengo, Internacional mais aussi Coritiba, relégué
- le Kyoto Sanga, mal en point depuis quelque temps, affronte encore le Kawasaki Frontale, Cerezo et les Marinos, ouch !
- et pour finir, la mascotte, Luqueño, qui doit encore se taper Libertad, Nacional et Tacuary.
Seule moyenne figée pour Alain, l'Alianza Panama qui affronte Herrera en play-offs.
jeannol a lui 4 championnats terminés, Finlande 1.963, États-Unis 1.2647, Féroé 1.4815 et Chine 0.9333.
Il lui reste aussi 2 matchs en Argentine (Instituto, Argentinos Juniors), 3 au Tadjikistan avec beaucoup à perdre (1.52 de moyenne avec Fayzkand, Istiklol et Eskhata à affronter).
Mais les gros points à observer sont ses clubs à 2 de moyenne ou presque, qui peuvent encore perdre quelques plumes :
- Ulsan déjà titré reçoit Pohang et Jeonbuk, puis va à Incheon
- Cobresal à quelques points du titre doit encore ramener des victoires de l'Audax, O'Higgins, la U de Chile et Unión Española, gare au relâchement s'ils sont champions à 2 journées de la fin
- le Liverpool uruguayen a encore beaucoup de matchs, 7 pour être précis, mais sans gros épouvantail et là aussi un titre du Clausura à aller chercher
Et pour finir, son Isloch à 1.64 doit absolument maintenir sa moyenne en affrontant Gomel (pas facile), l' Energetik-BDU Minsk toujours aussi relégué et le FK Minsk, peu ou prou le même calendrier que le Bélarus d'Alain.