Le mini Board s'est réuni, et on a finalement respecté les règles en vigueur depuis la création de la compétition. Dans le cas d'une exclusion de club avant le début du championnat, on change pour:
- un club n'ayant pas commencé dans un championnat non-drafté par le mou
- un club n'ayant pas commencé dans un championnat drafté
- un club à moins de 3 matchs dans un championnat non-drafté
- un club à moins de 3 matchs dans un championnat drafté
Si l'option qui correspond ne convient pas au mou, il peut aussi choisir d'etre à 9 clubs.
En fonction de l'ordre de draft, Arthur33 avait la priorité. Dans son cas, c'est le premier point (ou tiret) qui s'est appliqué, avec le Meizhou Hakka.
Puis vint le tour de Tricky. Dans son cas, c'etait le 3eme tiret, avec un choix entre Smorgon, le Naftan et le Tvøroyri. Il a choisi Smorgon.
Joli trophée de dernier du mois de mars ici (0,8485) pour notre ancien Trophée Le Lecteur, conquis de haute lutte, avec en particulier une belle performance galloise pour finir, son Cardiff Met Uni perdant 2-3 le dernier match du mois après avoir mené 2-0.
Premier titre de champion du mois pour ce drafteur attachant, roi des choix à l'arrache ou des drafts lancées à retardement, et pourtant, toujours plus performant (levons un voile pudique sur 2020-2021).
Comme signalé par le sombrero sur la SB, ce titre est acquis in extremis, grâce à une défaite de M. Meuble en Iran lors de son tout dernier match du mois. Mais l'essentiel, c'est de gagner !
Hors championnats américains, ce n'est que le deuxième titre de champion d'un tour 8 si je ne m'abuse, le précédent étant obtenu par ... Ludogorets en 2011-2012.
Le titre se joue sûrement ce weekend: le Legia recoit le Raków et se doit de l'emporter pour conserver une chance de titre. Un nul ou une défaite et je pense que les carottes seraient cuites
Cette semaine, le COTY se penche sur ses mammifères placentaires préférés, les tattoos.
Attention, comme dirait Magritte, ceci n’est pas un tatou.
Des tatouages dans le football, il y en a. De Maradona, se tatouant un mot doux sur la poitrine pour se réconcilier avec sa fiancée à Mauro Icardi et son dessin sur le bras en hommage aux enfants de Wanda Nara, des tatouages, il y en a.
De ceux qui nous rappellent de bons souvenirs (comme le « Dominus Regit Me Et Nihil Mihi Deerit tatoué sur le bras d’Olivier Giroud) à ceux qui nous traumatisent d’entrée (ne cliquez pas ici, c’est affreux), les tatouages sont légion chez nos footballeurs.
L’occasion de faire un petit tour sur la question. Evidemment, thème terwellien oblige, c’est à travers une douzaine de tatouages moches que le COTY vous propose de voyager, de la création franchement ratée au mauvais goût absolu.
C’est parti mon Kyky
Première étape du voyage, le footballeur-melon qui, au moment de demander quelque chose, ne voit rien de mieux que le fait de se tatouer lui-même sur lui-même pour boucler la boucle.
Le match bonus de la semaine nous proposait à cet égard un très joli melonico entre Leroy Sané, qui arbore dans le dos un tatouage de lui-même célébrant un but contre l’AS Monaco (pratique en cas d’amnésie), d’une part, et Andrés d’Alessandro qui s’est tout simplement tatoué sa tête sur son torse – on est pas passé loin de créer l’expression « la tête sur le cul ».
Interdiction de lui dire que Man City s’était fait sortir par l’ASM cette année-là, hein…
Alain a lui un tatouage de Plouky à cet endroit, ce qui est aussi chelou, ce qui se comprend pleinement voyons, d’ailleurs qui parmi les mous n’a pas fait la même chose ?.
Voilà pourquoi le COTY se déplaçait dès le vendredi soir, dans ce petit match bonus brumeux dans la Ruhr entre Schalke (club des débuts de Leroy) et Wolfsburg (le seul club ayant connu un vrai d’Alessandro en Europe…).
0-0 mais du coup de toute façon, ce match ne compte pas hihihi. Une petite pensée pour couve et Plouky qui l’avaient trouvé mais pour rien…
Tiens, juste en passant, puisqu’on était en melonico, saviez-vous que Richarlison s’est lui aussi tatoué sa propre tête sur le dos, aux côtés de Ronaldo et Neymar en mode Mont Rushmore ?
Mais ceci est une autre histoire, allons au Mexique !
Le saviez-vous ? . Le Mexique a son propre Jérémie Janot en la personne de Jonathan Orozco , gardien historique de Monterrey qui, lui aussi, se prend régulièrement pour Spiderman.
A vrai dire, Terwel exagère hein – la plupart des tatouages que Jonathan s’est faits en hommage à son héros sont plutôt correct, notamment ce bras Spiderman que l’on aperçoit ici.
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Mais bon, il faut bien faire un classement, et c’est pour cette dernière œuvre qu’Orozco entre dans le thème. Le tatouage de trop, dessiné par notre gardien lui-même (et repris un peu par le tatoueur, mais probablement pas assez), le représentant lui-même en … Spiderman, attrapant un ballon.
C’est pour ça qu’il faut faire confiance aux professionnels, hein… Mise en abyme parfaite, vous voyez que l’Orozco tatouté sur Orozco a lui-même les tatouages sur le bras d’Orozco. C’est beau comme du Victor Hugo
Orozco n’est plus à Monterrey mais … à Tijuana, alors allons-y aussi.
Le résumé du match trouvé en ligne débute à la 90e minute, c’est dire comme on s’est éclatés ici. Le seul but marqué reste toutefois magique, je vous laisse l’apprécier.
C’est beau comme une VMLDC - à partir de 6'40 pour l'action de légende
1-0, tout le monde l’avait trouvé ou presque, alors passons à autre chose. Petit regret pour Umtiti, le 60-62 n’était pas si loin…
Direction l’Australie maintenant, pour rendre hommage à deux joueurs s’étant offerts une escapade australienne en fin de carrière, en emmenant, bien sûr, leurs jolis tatouages avec eux.
Commençons par le mythique Panagiotis Kone, venu terminer sa carrière au Western United, en 2019-2020.
Tel un Paul de Gascogne, notre Grec joue en effet le mystère, avec ce mystérieux cadenas placé de façon audacieuse, qui donne envie de trouver la clé pour l’ouvrir (ou pas, en plus, elle n’est pas si difficile à trouver…).
Mais mention honorable tout de même aussi à Alessandro Diamanti, lui aussi passé par Western United. 52 tatouages sur le corps, fallait forcément un peu de déchet. Le voilà.
Alors, faut pas laisser choisir les enfants, hein…
Mais vraiment pas… C’est aussi comme ça qu’Alberto Gilardino s’est retrouvé avec Peppa Pig quelque part sur le bras…
Mais retournons au football avec l’A-League !
Le Western de Jaehaerys a mené 2-0. Si, si… Mention spéciale à Haut-le-Stein qui avait cependant trouvé le bon score de 3-2 pour … Adélaïde.
Pour la petite histoire, j’ai connu une Adélaïde A. au Collège qui est aujourd’hui … clerc de notaire. La vie est une Rocio Oliva. But de Goodwin sur pénalty, oui, oui, celui qui avait ouvert la marque contre les Bleus à la Coupe du monde !
Dommage, car voilà déjà atteint le sommet de notre thème, mais que voulez-vous, on ne maîtrise pas le calendrier.
Le tatouage est évidemment un moyen de rendre hommage à ses proches et des proches tatoués un peu partout, il y en a. Des parents tatoués dans le dos, à la sista sur l’épaule, en passant par les enfants tatoués sur les bras, il y en a pour tous les goûts et même … les mauvais, comme l’a démontré Uros Vitas.
C’est bien simple, Uros, malgré une carrière honnête (passages au Partizan, à La Gantoise, à Irtysh) n’est connu que pour son tatouage hommage à Madame, il faut le dire, un peu foiré.
Théorie inverse : Uros Vitas est le mec le plus malin du monde et en fait il a inventé le tatouage représentant une femme qui peut marcher avec plusieurs femmes. A méditer.
Rendez-vous donc à Vojvodina Novi Sad pour faire un coucou à notre nouveau footballeur préféré.
3-0 pour Novi Sad, tout se sera passé en deuxième période… Notons quand même le joli but de Malbasic, tout en vice et en terrain boueux.
4'51 pour le but susmentionné
Quatre mous avaient trouvé le 3-0 tout pile : Kolejorz, PierJean, Alain et Plouky. Passons sur les autres, car c’était beaucoup trop facile !
Un top ne serait pas un top sans Mario Balotelli. Notre Italien de 31 ans (putain, 31 ans seulement…) a en effet l’un des plus beaux tatouages-phrases du football, avec une citation de … Jesus-Christ… Victor Hugo … Gengis Khan !
Pour ceux qui ne parlent pas anglais, Mario veut dire qu’il est le fléau de Dieu et que ça va mal finir pour vous si vous n’avez pas été sages…
Voyons donc si Bâle a bien fait ses devoirs cette semaine…
Pas de Balotelli (absent), ni de Moubandjé ni de Cavaré, restés sur le banc … et 3-1 pour le FC Bâle, ce qui était grosso modo vu par tout le monde. Saluons donc juste Plouky parce qu’il le mérite et qu’il est le plus grand et aussi parce qu’il est le seul à avoir trouvé le bon écart !
Enchaînons avec un de mes tous préférés avec Jay Bothroyd, éphémère espoir anglais du football (une sélection en 2010 tout de même), vite disparue, avant de se refaire une carrière au Japon avec des passages réussis chez Jubilo Iwata et Consadole Sapporo.
Même pas besoin de commentaire cette fois-ci, il vous suffit juste de profiter de la merveille :
L-O-V-E écrit avec des armes, c’est magnifique, voilà qui surpasse tous les calligrammes de Guillaume Apollinaire.
C’est bien simple, c’est le plus beau tatouage anglais depuis celui de Nile Ranger qui s’était tatoué son nom sur sa tête pour ne pas l’oublier.
Mais revenons à Jay Bothroyd, qui avait eu, avant le Japon, une expérience un poil moins réussie en Thaïlande, chez Muangthong United….
4-4 entre Muangthong et Buriram, il s’est pas foutu de vous, hein, votre Terwellounet ? Triplé d’Eric Omondi pour Muangthong, kenyan déjà passé par la Belgique et la Suède : on adore !
On retrouve évidemment couvedemurville, accompagné par Vieux Pré et John Carton. Notons que francis et le Coiffeur étaient pas loin du hold-up !
Le tatouage, c’est aussi parfois une expérience malheureuse. En témoigne l’expérience de Jonathan Legear qui voulait faire le BG avec une citation latine (ah le latin … voilà qui casse l’image de footballeurs décérébrés !).
Oui mais voilà, le tatoueur, probablement un peu fatigué, se foire dès le premier mot et remplace « veni » par « vini », et tout cela ne veut plus rien dire…
Dans le même style, Eljero Elia avait connu une mésaventure proche en se trompant sur le nom de son club alors même qu’il voulait célébrer sa victoire en Coupe des Pays-Bas…
Mais cela est une autre histoire… Retrouvons Anderlecht, ancien club de Legear.
3-1 pour Anderlecht, avec un but d’Islam Slimani ! saviNono et le Maréchal attrapent le bon score, bravo à eux !
Autre artiste sur lequel on passera rapidement, car vous connaissez sans doute l’histoire, Artur Boruc et son célèbre tatouage singe de très bon goût.
Non, vous avez bien vu, le nombril est bien devenu ce que vous pensez. Et il a bien été montré à l’occasion que vous imaginez, à la fin d’un Old Firm remporté par le gardien polonais. La rumeur dit toutefois que Boruc s’est assagi depuis et aurait même effacé son tatouage « pour mettre quelque chose de nouveau à la place », dont il ne parlera pas. Ça promet !
Plue de Boruc ici mais on ne s’est pas ennuyé avec un Legia aux fraises par moment (ne ratez pas le premier but) qui se rattrape un peu mais concède le 2-2 au KS Cracovia !
Voilà qui fait les affaires de couve (un jour, ça passera, c’est sûr !) et de Umtiti, seuls à marquer des points sur la rencontre !
Autre histoire connue sur laquelle on repasse très vite, Mauricio Pinilla a eu beaucoup, beaucoup de mal à digérer son occasion ratée contre le Brésil lors de la Coupe du Monde 2014.
Au point, comme vous le savez, de se faire tatouer l’action l’ayant « presque » amené à la gloire…
On attend de voir si Randal Kolo Muani finira lui aussi par craquer… En attendant, retrouvons le Sporting, ancien club de Mauricio, pour son match contre Porto !
Match à rebondissement avec trois buts dans les dernières minutes (dont un refusé pour le Sporting) et c’est la troupe des 2-1 qui fait la fête pendant que les 2-2 peuvent avoir le cœur gros. Ils sont trop nombreux alors ne citons que ceux qui sont déjà apparus dans le CR : le Maréchal, John Carton et saviNono. Et si le vainqueur était parmi eux ?
A tout seigneur tout honneur, rendons-nous en France cette fois-ci pour profiter des derniers mois de présence de Jérôme Boateng sur notre territoire. Si, si, il joue encore à l’Olympique Lyonnais, vous aviez oublié ?
Comme son frère, Jérôme est un grand amateur de tatouages et ne possède rien de moins qu’un véritable arbre généalogique sur le dos…
21 noms de sa famille pour un tatouage pas si moche mais qui fait quand même un peu antisèche hein … Ce n’est pas le seul à avoir adopté cette technique, aussi employée par Daniele Portanova pour se rappeler des clubs par lesquels il est passé…
Vous saviez que le Maréchal s’était fait tatouer sa draft ? C’est pour ça qu’il a repris Melbourne Victory pour essayer de remplacer les Gigis
C’est hors sujet, mais c’est aussi l’occasion de saluer la mise en abyme de Kévin-Prince, qui a tout simplement tatoué sa propre main sur le mollet (pour rendre hommage à sa propre manière de célébrer ses buts) … avec bien sûr le tatouage qu’il a sur cette même main… Joli, joli !
Bon, j’étais même prêt à vous parler de John Carew mais ce sera pour une autre fois, on a plus le temps, c’est le moment de retrouver la meilleure équipe de le monde de l’univers !
2-1 pour Lens, Terwel pleure, et saviNono continue de rigoler avec quatre points à nouveau, accompagné d’autres gars qui ont parié contre mon équipe, alors je ne les cite pas. Voilà. Tiens, mais que devient Citron Merengue, le drafteur de Lyon ? Vous l’avez recroisé ?
Finissons notre voyage avec une catégorie de tatouages qui n’a pas encore été explorée, les WTF. Ceux dont on a beau réfléchir, on ne comprend pas. Et notre star en la matière est Alberto Moreno, désormais à Villarreal.
Alberto a bien non pas un mais deux tatouages de son chien, ce qui est bizarre mais ok (c’est vrai que l’on change parfois moins de chien que de chienne, pas vrai Diego ?).
Mais il a aussi ce tatouage de singe en train d’écouter de la musique ? Pourquoi ? On ne sait pas.
Serait-ce un hommage à Alain, son drafteur de cette année ?
Retrouvons Alberto sur le terrain avec ô mais quelle belle surprise le FC Barcelone de Xavi !
1-0 pour le Barça, il fallait bien un match tout pourri. On passe et tant pis pour ceux qui avaient le bon score, je préfère maintenir le suspens jusqu’au bout !
Repris la semaine dernière, notre leader réagit avec la manière : victoire de rooooooger raaaaaaaabine dans cette treizième étape ! Première victoire de notre grand favori en COTY depuis …. septembre 2019. Il était temps ! Seul regret pour roger : il prive notre bien-aimé Plouky d’une deuxième étape cette année. Parions qu’il aura l’opportunité de se rattraper d’ici la fin de saison
roger reprend cinq points d’avance sur APCGG qui reste toutefois tout près. Attention, car le troisième larron n’est autre que Plouky et qu’Alain co-organise le COTY. Il va falloir être attentif aux prochaines journées ! Relevons aussi la 5e place de bendjaz, à vingt points de la tête de course.
Plouky prend la tête des opérations à deux journées de la fin avec 49 points, devant FC Rien, 46, et un duo composé de Dix Joncs et roger, 44 tous les deux. Notre bien-aimé Boardeur est le seul de la bande à ne jamais avoir gagné de session en COTY, que vous faut-il de plus pour lui offrir ce titre tant mérité ?
On retrouve ici logiquement les leaders du général, RAS.
Paul profite de l’aveuglement de Terwel pour prendre facilement la tête. C’en est presque trop facile. Il va falloir trouver une nouvelle motivation pour notre Aoste en chef. Pourquoi pas piquer le championnat luxembourgeois à son rival lensois ?
francis était tout près et vient mourir à deux petits points. Rien ne bouge donc pour le moment et le suspens reste très pressant. Alain a fait 15 points, donc il considère avoir course déjà gagnée : l’avenir dira si c’était vrai !
APCGG, qui n’a pas si mal fini (5e de la journée) garde son joli maillot vert mais le partage désormais avec … Plouky. Là aussi, la pression monte…
Toni faiblit et laisse roger s’échapper. Mais deux bons score, cela se rattrape et on fait confiance à notre vétéran pour ne pas se laisser impressionner !
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Hall of Fame
J1 Goalkapeur (23) ; J2 APCGG, black cat, Haut-le-Stein, John Carton, Kolejorz, MinusGermain, Plouky (19) ; J3 Camara-Zoff (23) ; J4 – francislalanne (25) ; J5 – savinono (21) ; J6 – Le Chalençon (19) ; J7 – francislalanne (20) ; J8 – le Bleu (22) ; J9 – chapoto (23) ; J-10 Ô Mexico (19). ; J-11 Dix joncs must hard (17) ; J12 – FC Rien (22) ; J13 – roger rabine (23).
Leader
J1-5 Goalkapeur, J6-7 Toni Turek, J8-11 roger rabine, J12 roger rabine / APCGG, J13 roger rabine.