Le nombre de gros coups (Chengdu Rongcheng, UCV et surtout Cusco et Mirassol) est assez admirable, dommage que 2 de Mayo fasse de la merde et que les autres clubs, entre les picks 6 et 8, tournent autour du 1 de moyenne.
Pas la grande forme sur ce Clausura, ils vont avoir du mal sur la finale annuelle s'ils continuent comme ça, surtout s'ils ne se qualifient pas pour les PO (8e actuellement) et doivent attendre un mois sans jouer pour connaître leur adversaire.
En tout cas, ma moyenne de l'an dernier ne devrait pas être battue.
L'ancienne valeur sûre du championnat argentin vit sûrement l'une de ses pires saisons : dernier de son groupe de Libertadores, 3 victoires et 5 entraîneurs depuis le début de saison : Alexander Medina jusqu'en avril, 5 matchs avec Pablo Guiñazú, puis un intérim de Mariano Levisman (29 ans) avant que Diego Cocca arrive à l'intersaison mais ne dirige aucun match, suite à une dispute avec son président.
Depuis juillet, c'est donc Carlos Tévez qui coache Talleres, sans beaucoup plus de résultats jusqu'à maintenant.
Invité prestigieux ici en la personne du Kawkab Marrakech, vainqueur de la première Moutropica et finaliste de la seconde. Nous verrons ce que cela donne !
Qualifié à la différence de buts pour la phase finale du championnat NéoZ, Auckland City fait attendre tout le monde pour le démarrage de cette phase de championnat : ce soir, ils se déplacent au Caire pour disputer le premier match de la Coupe Intercontinentale contre Pyramids FC.
Vous êtes nombreux à me demande en MP des nouvelles de la prépa du Sao Salvador. Figurez-vous que quelques magnifiques images me parviennent d'Angola ou le championnat s'apprête à démarrer.
L'entraînement se fait dans le sable mou avec des plots, un peu comme à City, au Bayern ou au Real je crois. On travaille l'explosivité. Et le travail commence à bien porter ses fruits. (Défaite 7-0 de l'équipe réserve) Mais je vous laisserai les goûter en temps et en heure.
Le début du championnat est reporté de deux semaines pour des raisons administratives : beaucoup de recrues n'ont pas encore pu être inscrites après que le quota national de migrants a été atteint, et seuls trois clubs ont assez de joueurs enregistrés pour pouvoir jouer un match officiel.
Une solution pour inscrire ces recrues existe mais le processus administratif semble assez lent. Le fait que beaucoup d'équipes aient recruté de manière intense à la toute fin du mercato n'aide pas.
☀️ Le club
Fondé le 15 octobre 1955, initialement sous le nom Sport Lourenço Marques e Benfica (en référence à l'ère coloniale portugaise et au fait que Benfica dominait le championnat de la mère patrie à l'époque), le club adopte son nom actuel en 1978, en hommage à la plage de la Costa do Sol, à Maputo.
Surnommé les “Canarinhos” — les petits canaris — en référence à leur maillot jaune vif, symbole de joie et de soleil.
🏆 Palmarès & domination nationale
Avec 10 titres de Moçambola (1979, 1980, 1991–94, 2000/01, 2007, 2019), Costa do Sol est l’un des clubs les plus titrés depuis l’indépendance du pays.
À cela s’ajoutent 12 Coupes du Mozambique, ainsi que 10 Supercoupes.
🏟️ Stade
Le club évolue à l'Estádio do Costa do Sol, un stade polyvalent de 10 000 places, situé à quelques centaines de mètres de la plage du même nom à Maputo. Idéal pour le décrassage.
🛡️ Le logo : le soleil, la mer et… le canari
L’écusson représente un soleil levant sur la mer, surmonté d’un canari stylisé en vol (si, si...) : un emblème lumineux affirmant l’identité solaire du club et son ancrage balnéaire.
Les couleurs officielles : jaune dominant, en référence au soleil, et bleu marine, pour évoquer l’océan indien.
🚀 Parcours & performances continentales
En compétitions africaines, Costa do Sol a participé à plusieurs éditions de la CAF Champions League (6 apparitions), atteint parfois la phase de groupes, et a brillé dans la Coupe des vainqueurs de coupe CAF, où ils ont atteint les quarts de finale à deux reprises (1996, 1998) — un exploit pour un club mozambicain.
⚽ L’équipe actuelle (2025)
L’équipe actuelle mélange joueurs locaux, avec le gardien international Victor Guambe, et de quelques talents étrangers comme l’international malawite Lloyd Njaliwa qui évolue au poste d'ailier.
Sous la direction du nouvel entraîneur, le lusophone Baciro Candé (Guinée Bissau), le club mise sur l’équilibre entre expérience et jeunesse pour reconquérir le titre après plusieurs saisons dans le haut du tableau sans décrocher le Graal.