Violences en Bolivie, épisode 466489 : les bureaux de la Fédération Bolivienne de Football (FBF) ont été la cible d'un attentat à la bombe hier, sans faire de blessés.
Les soupçons se portent envers des "supporters" liés au club de Jorge Wilstermann, mécontents du maintien des sanctions économiques par la FIFA annoncé hier.
Cet attentat est à inscrire dans un contexte national bolivien assez violent ces derniers temps, dans un pays qui a vu par exemple en juin dernier une tentative d'attentat envers le Tribunal Constitucional Plurinacional, déjoué en flagrance.
C'est même une obligation.
Hormis tous les hathèmebenarfistes et autres drafteurs un peu tendres du clic, j'ose espérer que chacun conserve l'objectif TOP 1 au mois d'aout.
Billou a une excellente moyenne de 23.75 sur ses 8 premiers matches, mais il n'a pas encore ressenti l'envie de casser sa télé en voyant jouer Panserraikos ou serrer les poings devant la nullité du Punjab FC.
D'ailleurs Billou, RDV à la maison pour les derbys africains.
Ca aussi c'est une obligation.
Le score entre l'Arsenal Tivat et Buducnost a été rentré hier, mais le match n'est pas terminé : suite et fin aujourd'hui à 18h30 pour cause de panne de courant, sacré Buducnost ! Quelle surprise, ils continuent de faire chier avec chapoto (bon, cette fois-ci, c'est la faute des locaux).
Champion du Brésil en 1968 et 1995, Botafogo est le club principal des légendes Garrincha puis Jairzinho, mais surtout de Nilton Santos, qui a joué 719 matchs avec l'Estrela Solitária entre 1948 et 1962, pour 75 sélections dans la Seleção. Le stade de Botafogo porte d'ailleurs son nom.
Le Botafogo est un pas de danse de samba. C'est le quartier du sud de Rio de Janeiro qui a donné son nom au pas de danse, ce nom étant lui-même le nom du capitaine du galion Botafogo, qui signifie en Portugais "mets lui le feu" ou "brûle le".