D'après les Opta Power Ratings, les Waka Waka Tigers sont classés au même niveau mondial qu'Auckland City, qui est dans le groupe du Bayern de la Coupe du Monde des Clubs.
Sa participation à la CDM n est pas remise en cause mais la situation est cocasse tout de même
Bayern’s opponents, Auckland City FC, do not have their full squad available as some players have declined to participate in the Club World Cup due to the majority of the team's players working part-time jobs from 9am-5pm.
?? Auckland City coach Paul Posa: “All the players have other jobs besides their football commitments. We are probably the smallest club there, being an amateur team as well. It's quite possibly the toughest group we could have drawn (Bayern, Benfica, Boca Juniors). I think we have to go there and prepare the best we can, give it everything we've got and try and cause an upset.
Our players have exceptional dedication to football outside of working hours. The players had to take annual leave from their jobs. Some players were unable to attend both the OFC Champions League and the FIFA Club World Cup due to their jobs.
Of course, we're extremely excited and proud. We're going to what is essentially a new FIFA tournament, a new FIFA initiative. There are just so many exciting aspects to the tournament, and it's a pretty special opportunity to rub shoulders with some of the best teams in the world.
It's a dream come true for a lot of people. I think around our club, it's a huge honour to represent Auckland and New Zealand and Oceania, really. It's really exciting and a real honour.”
Paul Posa is currently Auckland’s interim coach in place of Albert Riera, who is absent for family reasons.
Ça va nous changer d'Almeria, Granada et Gijon... À noter le dernier (?) baroud d'honneur de Santi Cazorla avec le Real Oviedo, 40 ans et buteur lors du dernier match !
Comme un an sur deux environ, le championnat bolivien est perturbé par des mouvements sociaux dans le pays.
Le match du Nacional Potosi devant se dérouler cette nuit est reporté en raison des heurts entre police et manifestants, ayant occasionné 5 morts depuis 11 jours.
Футбольный клуб Томь Томск (Football Club Tom Tomsk)
Et sinon...
Club à l'existence modeste à l'époque soviétique, il se révèlera dans les années 2000, étant un rare représentant de la Sibérie dans l'élite russe à partir de 2005, Tomsk se trouvant en effet à plus de 2800km de Moscou.
.
Le club est fondé en 1957, sous le nom de Bourevestnik Tomsk (« L’oiseau d’orage Tomsk »), qui est le premier d’une longue suite de noms originaux, comme Sibelektromotor Tomsk (« Le moteur électrique sibérien ») et Manometr Tomsk (« le manomètre »). Leur plus grand fait de gloire à l’époque soviétique est une victoire contre le Dinamo Kiev en 16e de finale de la coupe de d’URSS en 1959 !
.
La chute de l’URSS ne change pas grand-chose au destin du Tom Tomsk dans un premier temps : le club continue de végéter dans les divisions inférieures. Mais en 1995, la Compagnie pétrolière de l’Est (« Vostotchnaïa Neftenaïa Kompania ») signe un contrat de sponsoring avec le club sibérien. Les renforts ne tardent pas à arriver : Tomsk signe l’ancien entraîneur du Torpedo Moscou Vladimir Iourine, ainsi que quelques joueurs de l’écurie moscovite. Logiquement, Tomsk décroche son ticket pour la deuxième division en 1997. La privatisation de leur sponsor remet en cause leurs ambitions, et le club ne doit sa survie au début des années 2000 qu’aux subventions de l’administration régionale et de la succursale locale de Gazprom. Après quelques années d’une lente ascension en deuxième division, Tomsk parvient enfin à décrocher la deuxième place du championnat, synonyme de montée en première ligue.
.
De 2005 à 2012, le club se stabilise au plus haut niveau du football russe. En 2006, Tomsk obtient le meilleur classement de son histoire en finissant 8e, en partie grâce à leur jeune attaquant Pavel Pogrebniak, qui fera le bonheur du Zenit Saint-Pétersbourg en coupe UEFA par la suite. L’année suivante, les Sibériens accèdent même aux demi-finales de la coupe de Russie, où ils chutent contre le CSKA Moscou, futur vainqueur. A la fin des années 2000, le club connaît de sérieuses difficultés financières. Grâce au soutien du président de la fédération de football Vitaly Moutko et du premier ministre Vladimir Poutine, le Tom Tomsk parvient à trouver de nouveaux sponsors. Las, le passage à un championnat automne-printemps porte le coup de grâce aux Sibériens, qui descendent à l’issue de la saison 2011-2012. Pas pratique de jouer en novembre ou en mars en Sibérie. Après un an de purgatoire et deux victoires contre les rivaux du Sibir Novossibirsk, le Tom Tomsk est de retour en première ligue.
C'est la première et la dernière fois que je drafte un club parce qu'il a un nom rigolo. (Enfin, Leotar aussi ça m'a fait rire et ça marche un peu mieux). Le Tom Tomsk ne trouve pas la route des filets adverses?