Le suspens a pris fin : Arkadag est officiellement champion du Turkménistan pour la troisième année consécutive.. alors qu'il n'est créé que depuis deux ans et demi.
La deuxième meilleure attaque de la compétition (derrière l'invraisemblable Bissen de Loscoff) a encore fait parler la poudre ! Une victoire sur les trois derniers matches (face à Metz ou Hambourg, au hasard) et ça devrait le faire.
Quel Toupet-QUEL TOUPET!!!
Ça va bien que je finisse quand même premier, sinon j'aurai formulé une réclamation pas piquée des hannetons auprès du sérenissime Board (dont j'aurai surtout pu me faire un collier de nouilles avec, m'enfin bon, pour la forme comme d'hab quoi, fin de non recevoir included automatisée)
Pas de suspens avant la dernière journée de championnat régulier : Peñarol est déjà champion du Clausura et ira défier Liverpool en demi-finale. Ensuite il faudra pour le vainqueur affronter Nacional, probable vainqueur du classement annuel (malgré une pénalité de 3 points) en aller-retour.
Pour la descente, c'est déjà fait aussi : River Plate (21 saisons consécutives en D1), Miramar et Plaza Colonia repartent à l'échelon inférieur. Progreso et Wanderers ont eu chaud aux fesses.
Décidément ils n'arrivent pas à se rapprocher du 0 point au classement, 4 défaites d'affilée qui les condamne presque définitivement alors qu'ils font une saison plus qu'honorable. Jorge Wilstermann pourrait se sauver sportivement (barrage contre le 2e de D2) avec 0.5 de moyenne et seulement 2 victoires en 2025. Mais quelque chose me dit que les tribunaux sportifs vont être actifs à l'intersaison...
À la fin du week-end (demain matin 8h), il manquera encore 5 scores pour terminer l'aller : 2 en Albanie (mardi), un en Angola (mercredi), un en Indonésie (mercredi) et un au Maroc (mercredi).
Joliment serré par ici. On mettrait bien une petite pièce sur tix et Umtiti mais tout semble très ouvert, même pour ceux qui sont en deuxième partie de tableau (ce sera quand même compliqué pour Pascal).
Футбольный клуб Томь Томск (Football Club Tom Tomsk)
Et sinon...
Club à l'existence modeste à l'époque soviétique, il se révèlera dans les années 2000, étant un rare représentant de la Sibérie dans l'élite russe à partir de 2005, Tomsk se trouvant en effet à plus de 2800km de Moscou.
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Le club est fondé en 1957, sous le nom de Bourevestnik Tomsk (« L’oiseau d’orage Tomsk »), qui est le premier d’une longue suite de noms originaux, comme Sibelektromotor Tomsk (« Le moteur électrique sibérien ») et Manometr Tomsk (« le manomètre »). Leur plus grand fait de gloire à l’époque soviétique est une victoire contre le Dinamo Kiev en 16e de finale de la coupe de d’URSS en 1959 !
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La chute de l’URSS ne change pas grand-chose au destin du Tom Tomsk dans un premier temps : le club continue de végéter dans les divisions inférieures. Mais en 1995, la Compagnie pétrolière de l’Est (« Vostotchnaïa Neftenaïa Kompania ») signe un contrat de sponsoring avec le club sibérien. Les renforts ne tardent pas à arriver : Tomsk signe l’ancien entraîneur du Torpedo Moscou Vladimir Iourine, ainsi que quelques joueurs de l’écurie moscovite. Logiquement, Tomsk décroche son ticket pour la deuxième division en 1997. La privatisation de leur sponsor remet en cause leurs ambitions, et le club ne doit sa survie au début des années 2000 qu’aux subventions de l’administration régionale et de la succursale locale de Gazprom. Après quelques années d’une lente ascension en deuxième division, Tomsk parvient enfin à décrocher la deuxième place du championnat, synonyme de montée en première ligue.
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De 2005 à 2012, le club se stabilise au plus haut niveau du football russe. En 2006, Tomsk obtient le meilleur classement de son histoire en finissant 8e, en partie grâce à leur jeune attaquant Pavel Pogrebniak, qui fera le bonheur du Zenit Saint-Pétersbourg en coupe UEFA par la suite. L’année suivante, les Sibériens accèdent même aux demi-finales de la coupe de Russie, où ils chutent contre le CSKA Moscou, futur vainqueur. A la fin des années 2000, le club connaît de sérieuses difficultés financières. Grâce au soutien du président de la fédération de football Vitaly Moutko et du premier ministre Vladimir Poutine, le Tom Tomsk parvient à trouver de nouveaux sponsors. Las, le passage à un championnat automne-printemps porte le coup de grâce aux Sibériens, qui descendent à l’issue de la saison 2011-2012. Pas pratique de jouer en novembre ou en mars en Sibérie. Après un an de purgatoire et deux victoires contre les rivaux du Sibir Novossibirsk, le Tom Tomsk est de retour en première ligue.
C'est la première et la dernière fois que je drafte un club parce qu'il a un nom rigolo. (Enfin, Leotar aussi ça m'a fait rire et ça marche un peu mieux). Le Tom Tomsk ne trouve pas la route des filets adverses?