Champions sans contestation possible, à 4 journées de la fin, avec surtout une défense de fer, 12 buts encaissés en 26 matchs. Sacré trophée pour Péguy, et aussi le premier de l'Histoire pour Coquimbo !
Joliment serré par ici. On mettrait bien une petite pièce sur tix et Umtiti mais tout semble très ouvert, même pour ceux qui sont en deuxième partie de tableau (ce sera quand même compliqué pour Pascal).
C'est normal car je n'ai pas encore relancé la mise automatique des scores en GVMC. Elle n'est pas complètement automatique. Il faut quand même quelqu'un pour la lancer.
On devrait perdre un historique de la LVMH, même s'il n'a encore aucun message sur sa fiche et a déjà été drafté par personne : mathématiquement l'équipe peut se sauver à la dernière journée en battant Narva Trans et en espérant que Kuressaare, qui compte aussi 8 saisons molles, se rate face aux liquides de Tallinna Kalev, mais la probabilité semble basse.
Pd. Entre les deux, le match du 26 septembre (0-1 sur le terrain de Tammeka) a pesé lourd dans la balance.
Bon dernier de la conférence Est, et pire équipe du Clausura si l'on excepté Herrera qui n'a gagné qu'un match, ça doit être l'une des saisons les plus dégueulasses vécus par les fans de Tauro, pas habitués à ça (17 fois champions et 9 fois vice-champions depuis 1990).
Pour la Nouvelle Zélande, ca avait effectivement annoncé en debut de saison, car on considerait que 18 matchs étaient trop peu, surtout pour les gros clubs. On verra si on maintient cette decision l'année prochaine,puisque il y a en effet la limitation que tous les clubs ne jouent pas cette phase suivante, au contraire de la Finlande ou de l'Equateur, mais ca ne reste pas forcement moins injuste sur la moyenne que le cas de jouer un meme nombre de match en etant 6eme sur 12 (et donc de se taper que des gros) vs 7 sur 12 (et se taper les nuls du championnats).
Puisqu'on parle de moi, ma position sur les PO en VML à prendre en compte serait de les prendre quand tous les clubs y participent, pas forcement le cas où seulement certains y participent. Donc je suis pour pour Roumanie, Grece, Belgique, pas forcement definitivement convaincu par les cas types Nouvelle Zelande.. Ca sera discute dans la joie, la coke et la bonne humeur par le Board.
La nouvelle saison de SML a commencé la semaine dernière mais pas de trace de PVV, 2e en 2025, la police n'a ironiquement pas obtenu sa licence. Le championnat se jouera donc à 9 clubs, les mêmes que l'an dernier.
Le club
Fondé en 2017 sous le nom SHF Shkëndija Hajvali, du nom d’une école primaire à Hajvali, banlieue de Pristina, l’équipe a démarré comme projet scolaire avant de se professionnaliser en 2020–21 sous son nom actuel Prishtina e Re.
Il est sponsorisé par un groupe immobilier qui a trouvé beaucoup de choses à reconstruire au Kosovo après la guerre et porte le nom d'un complexe résidentiel situé à quelques encablures de Prishtina.
Le club ambitionne de devenir une force dans le championnat national : en 2023, Prishtina e Re remporte la First League Groupe B, et pour la première fois accède à la Football Superleague pour la saison 2025–26.
Le stade : FFK National Educational Camp
En attendant la construction de leur propre stade, le club dispute ses rencontres à Hajvali sur le site du FFK National Educational Camp, d’une capacité d’environ 4 000 places.
Ce centre sert également d’infrastructure d’entraînement éducatif pour la fédération, montrant le lien entre enseignement et sport que défend le club.
Le logo : minimaliste, bleu & épuré
L’écusson bleu épuré présente la mention PRISHTINA E RE, un symbole abstrait stylisé de « R » et ballon au centre. Le design évoque le nouveau départ et la modernité, bien loin des blasons lourds d’histoire. Bref, ici, l’avenir prime sur le passé.
Ascension rapide
Après des débuts en 4ᵉ division, Prishtina e Re monte rapidement : 3ᵉ division, puis First League, avec promotion du groupe B obtenue en 2023, après une saison quasi parfaite avec seulement deux défaites sur 28 matchs.
Effectif actuel
En 2025, l’équipe dispose d'un effectif plutôt jeune mais d'aucun international senior kosovar à ce stade — l’accent demeure sur le développement interne.
L’entraîneur Elon Berisha, épaulé par un staff jeune et engagé, porte l’ambition de stabiliser le club dans l’élite et de conquérir le cœur de l’élite locale.
Ambitions & identité
Le club se positionne pour devenir le club phare de Pristina, avec une stratégie claire : former, monter, stabiliser.
Malgré un palmarès encore vierge, Prishtina e Re se veut le club anti-establishment, le renouveau incarné à Hajvali. Leur ambition ? Bousculer les géants comme FC Prishtina ou Drita, en misant sur la jeunesse, le collectif et la vision éducative du sport.