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Jupiler Pro League 2009-2010 - Journée 10
par nominoe, le 08/10/09 à 1h35
Jupiler Pro League 2009-2010 - Journée 10




"Le football belge, c'est le Far West"


(Herman Van Holsbeeck, manager d'Anderlecht, dans "Knack")






Les scores:



La Gantoise (6ème) - Mouscron (15ème): 1-1



43' [0-1] M. Lestienne

48' [1-1] R. Azofeifa





Charleroi (10ème) - Courtrai (14ème): 3-3



17' [0-1] D. Vandenbroeck

25' [0-2] E. Ibou Savaneh

40' [1-2] A. Cordaro

61' [2-2] C. Théréau (pen.)

67' [3-2] C. Théréau

86' [3-3] J. Hempte





Germinal Beerschot (8ème) - Westerlo (13ème): 3-1



15' [0-1] D. Dekelver

60' [1-1] M. Rits

88' [2-1] F. Haroun

90' [3-1] M. Rits





Malines (5ème) - Lokeren (12ème): 2-0



7' [1-0] J. Gorius (pen.)

73' [2-0] A. Nong





Roulers (16ème) - Cercle Bruges (9ème): 3-2



24' [1-0] M. Dissa

34' [1-1] F. Boi

61' [1-2] B. Evens

88' [2-2] B. Vidarsson

90' [3-2] M. Dissa





Saint-Trond (3ème) - Zulte-Waregem (7ème): 1-2



25' [0-1] K. Makiese

50' [0-2] T. Chevalier

81' [1-2] I. Sidibe





FC Bruges (2ème) - Anderlecht (1er): 4-2



17' [1-0] A. Alcaraz

23' [1-1] T. de Sutter

38' [2-1] K. Geraerts

40' [3-1] W. Sonck

83' [4-1] R. Vargas

90' [4-2] T. de Sutter





Standard de Liege (4ème) - Genk (10ème): 1-0



58' [1-0] M. Jovanovic (pen.)





Le classement au tiers du parcours:



1 FC Bruges 21

2 Standard 20 (+12)

3 Anderlecht 20 (+6)

4 FC Malines 18

5 Saint-Trond 17

6 La Gantoise 15 (+6)

7 Germinal Beerschot 15 (+1)

8 Zulte Waregem 15 (0)

9 Charleroi 12

10 Cercle Bruges 11 (0;17-17)

11 Racing Genk 11 (0;13-13)

12 Courtrai 10 (-3)

13 Lokeren 10 (-4)

14 Westerlo 10 (-9)

15 Mouscron 7

16 Roulers 6



Meilleure attaque: Bruges, 23

Meilleure défense: Standard, 8

Moins bonne attaque: Mouscron, 9

Moins bonne défense: Roulers, 24



Les buteurs:



1.Jovanovic (Standard) 7 (+1)

Théréau (Charleroi) 7 (+2)

3.Dissa (Roulers) 6 (+2)

Sidibe (Saint-Trond) 6 (+1)

5.Akpala (Club Bruges) 5

Gorius (Malines) 5 (+1)

Janczyk (Lokeren) 5

"Jaycee" Okwunwanne (Mouscron) 5

"Makiese" Ntinu Ntuluengani (Zulte-W.) 5 (+1)





Cette 10ème journée de Jupiler Pro-League, qui nous offrait encore une fois une affiche opposant le leader à son dauphin, marque un tournant de la saison. Tournant purement comptable, puisqu'elle se situe au tiers de la saison que nous appellerons régulière, et au quart de la saison tout court pour les équipes qui prétendent au titre: rappelons que les six premiers joueront des play-offs où ils s'affronteront tous deux fois, ce qui nous fait dix matchs supplémentaires, et que les points engrangés dans les trente premiers matchs seront, pour la suite de la compétition, divisés par deux et arrondis éventuellement à l'unité inférieure. Pour exemple, si les play-offs commençaient maintenant, on continuerait avec les compteurs suivants: Bruges, Anderlecht et le Standard avec 10 points, Malines avec 9, Saint-Trond avec 8, et La Gantoise avec 7. Vous suivez ? Moi non plus. Et je vous fais grâce des détails qui permettent en théorie au 14ème (oui, l'avant-avant-dernier !), de postuler à une place européenne !




La journée s'ouvrait vendredi avec le déplacement de Mouscron à La Gantoise. Un match déjà crucial pour les deux équipes, puisque les Buffalos restaient sur deux défaites précédées d'un nul, alors que les Hurlus venaient de décrocher un nul après cinq défaites de rang. L'effet "match de la peur" était renforcé par le port d'un masque transparent, façon Hannibal Lecter, par deux joueurs gantois, Thompson en première mi-temps, puis Grondin en seconde. Thompson, qui portait ce masque suite à une fracture du nez, n'est décidément pas verni puisqu'il a dû sortir après une blessure au genou (il s'était esquinté le ménisque à l'échauffement, et a joué tout le première période). C'est l'Excelsior, qui a retrouvé une sérénité défensive avec l'arrivée de Berthelin dans les cages, qui ouvrait la marque juste avant la pause suite à une reprise du jeune Lestienne, après que Jaycee (hors jeu au départ de l'action) ait sauté au dessus de la balle pour laisser filer le centre. Secoués à la mi-temps (Preud'homme et son adjoint Manu Ferrera ayant suggéré à l'équipe de monter eux-mêmes sur le terrain pour leur faire voir comment ils devaient jouer), les Gantois égalisaient en début de deuxième mi-temps sur un joli coup franc direct d'Azofeifa. Plus rien ne sera marqué malgré une belle occasion de Leye pour les locaux, et la fin de match sera assez tendue, avec pas moins de 4 cartons jaunes dans les trois dernières minutes. La Gantoise reste sixième, ce qui est suffisant pour jouer les play-offs, mais ses deux poursuivants ont le même nombre de points. Toujours avant-dernier, l'Excelsior est, malgré ce résultat correct, maintenant à trois longueurs de la 14ème place, et voit Roulers revenir du fond du classement...




Charleroi recevait Courtrai, et le partage de points n'a arrangé personne, sinon ceux qui aiment les matchs avec beaucoup de "goals". Stéphane Demol avait remanié son équipe en laissant Brillault, Orlando et Bia sur la touche, mais si celle-ci se créait deux occasions dans les dix premières minutes, la suite tournait à l'avantage des Courtraisiens. C'est d'abord Benko qui marquait sur un centre de l'ex-Carolo Vandenbroeck, puis Ibou Sawaneh doublait la mise à la suite d'un centre contré, une défense carlo étrangement passive laissant l'attaque courtraisienne se balader aux abords de la surface. A 0-2 les Zèbres pouvaient craindre le pire, d'autant plus qu'un fauchage en pleine surface de Cordaro par Verbrugghe (Brecht, de son prénom) laissait l'arbitre de marbre. Mais sur le corner qui s'en suivait, ce même Cordaro réduisait la marque d'une splendide volée sans contrôle de 20 mètres. A la pause, Demol procédait à deux changements et faisait rentrer Bia et un joueur originaire... d'Oman, Al-Hosni; ce dernier filant vers le but se laissait tomber à l'extérieur de la surface, et M. Delacour accordait très généreusement le pénalty, sans doute en compensation de son oubli de la première période. Théréau égalisait, avant de donner l'avantage à Charleroi 7 minutes plus tard, d'une superbe "Madjer". Le vent semblait avoir tourné en faveur des Carolos, y compris au niveau de l'arbitrage puisqu'à quatre minutes du terme, sur une sortie Schumacherienne de Chabbert sur Benteke, le gardien carolo n'écopait que d'un carton jaune. La frustration des hommes de Leekens était de courte durée puisque le coup franc direct était magistralement transformé par Hempte. Courtrai aurait même pu faire le hold-up sans un sauvetage de Chabbert dans les toutes dernières minutes. Pas une bonne affaire pour les deux clubs, qui restent scotchés dans le ventre mou, même si Théréau pouvait savourer: avec son doublé, le numéro 77 passait à 7 buts, devenant meilleur marqueur du championnat (il sera rejoint le lendemain par Jovanovic).




Le Germinal Beerschot recevait Westerlo au Stade Olympique; si à première vue l'opposition semblait ventremolliste à souhait (le 8ème contre le 13ème), ces deux équipes restaient chacune sur un brillant 9/12. Après un début de saison catastrophique, Westerlo s'est ressaisi en gagnant ses deux derniers matchs, une victoire sur la pelouse de La Gantoise et une à domicile contre Saint-Trond. Les Campinois abordaient donc ce déplacement à Anvers en toute confiance malgré l'absence de Iakovenko, et le début du match semblait leur donner raison, Dekelver marquant son 60ème but en D1. Il manquait ensuite l'occasion de doubler la mise, et la rencontre basculait à la 26ème minute. Mravac étant logiquement exclu suite à un tacle assassin sur Cruz, ce qui vaudra au défenseur bosniaque six matchs de suspension. On assistait alors aux habituelles simagrées des joueurs furieux de l'expulsion de leur coéquipier, mais l'arbitre ne se laissait pas impressionner et avertissait dans la foulée Van Kerckhoven et Van Hout. Cruz sortait sur une civière (mais la blessure s'avèrera moins grave que prévue) et était remplacé par Mats Rits, dont nous reparlerons plus loin. Les joueurs de Westerlo récoltaient deux nouveaux cartons jaunes (le buteur et le gardien) avant la pause mais rejoignaient les vestiaires avec leur but d'avance. En deuxième période, ce sont les "Rats" qui imposaient leur domination et à l'heure de jeu, c'est Rits qui égalisait d'un tir sous la barre. Le jeune (16 ans et 77 jours!) joueur anversois allait marquer le match, puisque c'est lui qui, à deux minutes de la fin, passait à Goor, dont le centre repris de la tête par Haroun redonnait l'avantage aux Anversois, et c'est également lui qui, dans la minute suivante, marquait à nouveau en reprenant un centre de Dosunmu, entré 10 minutes plus tôt (et apparemment pas traumatisé par le fait que ses coéquipiers l'aient enfermé dans le coffre d'une voiture quelques jours plus tôt). Il ne faut bien sur pas s'enflammer, mais après le Mouscronnois Lestienne et l'Anderlechtois Lukaku, voici un troisième joueur mineur qui fournit un apport majeur à son équipe. Eux et les Diablotins actuels seront-ils les terreurs du football mondial en 2020, cent ans pile après la médaille d'or obtenue par le onze belge aux... Jeux Olympiques d'Anvers?




C'est dans la plus parfaite discrétion que Malines se rapproche du haut du classement. Seule équipe à ne pas encore avoir fait de match nul, c'est également une des équipes les plus patriotes du championnat, avec 8 belges sur le terrain au coup d'envoi et 9 à la fin du match ! Ce qui n'empêche pas que les buteurs du soir sont le Français Julien Gorius, sur penalty (le 4ème de la saison, pour un total de 5 buts), et le Camerounais Aloys Nong, auteur d'un superbe raid de soixante mètres mettant trois défenseurs adverses dans le vent. Coté lokerenois, le gardien Copa était absent, et les occasions de Malki, Carevic, Overmeire et Janczyk n'ont pas permis de contester la domination malinoise. Et le président Lambrecht n'y allait pas de main-morte à propos d'un de ses défenseurs coupable du contact sur le pénalty, en déclarant "A nouveau Dupré à la faute, nous ferions mieux de jouer à 10". Ambiance...




Toni Turek en a rêvé, Roulers l'a fait ! Les 6000 spectateurs du Schiervelde ont enfin pu vibrer pour leur équipe, même si une nouvelle défaite se profilait toujours à moins de cinq minutes du terme. La curiosité du match était la présence sur le terrain des frères Vidarsson, un dans chaque équipe. Chacun se distinguera dans la partie, mais d'une manière différente. Les Roulariens se procuraient les premières occasions, et c'est Dissa qui ouvrait le score suite à une erreur défensive; un buteur régulier, puisque c'est son quatrième match d'affilée où il marque. Le Cercle égalisait quelques minutes plus tard: un superbe tir de 30 mètres de Vossen qui prenait le chemin de la lucarne était magnifiquement repoussé par Sierens... sur le Brugeois Boi qui n'avait plus qu'à ajuster le portier aux six mètres, aucun défenseur ne daignant tenter de s'interposer. A l'heure de jeu, Evens donnait l'avantage au Cercle et à un quart d'heure de la fin, Arnar Vidarsson (l'aîné, celui du Cercle), était exclu pour un deuxième carton jaune, assez stupide: il était sorti trop tôt du mur sur un coup franc. Vossen manquait ensuite la balle de break en tirant à coté après avoir dribblé le gardien, et à deux minutes de la fin, c'est Bjarni Vidarsson (le cadet, celui de Roulers) qui égalisait. Roulers était déchainé et obtenait la victoire à la dernière minute, grâce à Dissa. Les Roulariens doublent ainsi leur nombre de points et s'ils sont toujours derniers, reviennent à une unité de la place de barragiste. Mais ils perdent leur attaquant El Gaaouiri pour plusieurs semaines, victime d'une grave déchirure musculaire.




Après un départ en fanfare, la période euphorique semble passée pour Saint-Trond, qui concède sa troisième défaite de suite, la deuxième au Staaien, contre Zulte-Waregem. Un bel "instantané" du football d'outre-Quiévrain, avec pas moins de 14 belges sur la pelouse au démarrage, et deux de plus à la fin ! Mais ici aussi, les trois buts sont les oeuvres de joueurs étrangers. Enfin façon de parler, puisque pour Zulte (qui alignait la même équipe que celle qui avait battu La Gantoise), c'est la colonie française qui a assuré le spectacle; c'est d'abord Makiese qui a ouvert la marque, sur un centre de Teddy Chevalier (après une sortie totalement ratée de Mignolet), puis le même Chevalier qui doublait la mise après le repos sur un centre de Franck Berrier, le "Ribery de Waregem" (si, si !). Entre temps, les Trudonnaires avaient eu l'occasion d'égaliser après que Bossut ait fauché Onana (et s'en soit bien tiré avec seulement un carton jaune), mais Da Silva tirait le pénalty sur ledit Bossut. A 0-2, les hommes de Brepoels réagissaient mais tardivement, et seul l'incontournable Sidibé trouvait l'ouverture sur un centre de Wilmet à 10 minutes du terme. L'état de grâce semble donc bel et bien terminé pour le promu...




Choc de cette journée, le leader Anderlecht se déplaçait au Jan-Breydel Stadion, chez son dauphin. Et pour la troisième fois de la saison où le premier est opposé au deuxième, c'est à nouveau le deuxième qui devient premier. Et avec la manière, il y a 10 ans que Bruges n'avait pas battu les Mauves et Blancs par deux buts d'écart, et... 39 ans que les Bleus et Noirs n'avaient pas scoré quatre fois contre Anderlecht. Le score est parfois trompeur, car Proto, par exemple, n'a effectué son premier arrêt sérieux qu'à la 75ème minute. Mais tout semble sourire aux hommes d'Adrie Koster (et où Perisic fournit un apport important match après match), à l'inverse des joueurs de Jacobs, qui comptent après ce match trois blessés de plus, Deschacht après une demi-heure (contracture à l'adducteur), Legear à la pause (élongation aux ischios), et Bernardez à l'heure de jeu (déchirure des ischios); Bernardez qui avait... remplacé Deschacht. Seul le premier sera rétabli à la fin de la trêve internationale, l'indisponibilité des deux autres s'estimant à plusieurs semaines. Sans compter la déchirure à la hanche du gardien remplaçant Schollen, à l'échauffement à Bruges.




Le dernier match de cette journée se déroulait à Sclessin, où le Standard Liege recevait Genk. Le sifflet était tenu par le déjà controversé Serge Gumienny qui non seulement est limbourgeois, lui aussi, et dans le civil travaille chez Ford à... Genk. Et il semble qu'il tienne à ce qu'on s'aperçoive bien qu'il ne fasse pas de favoritisme; malgré une mise en garde, l'entraineur Vanhaezebrouck, néophyte au club, ne voulait croire pareille chose ("Les gens qui sont au club depuis bien plus longtemps que moi m'avaient averti que Gumienny faisait tout ce qui était en son pouvoir afin de ne pas être accusé de favoriser ses concitoyens. Je n'y croyais pas jusqu'à...ce soir. A présent, je l'ai vu de mes propres yeux."). De fait, les deux actions décriées, dont l'une scelle le score final, sont en défaveur de Genk: en première période, le ceinturage de Matouku par Felipe n'est pas sifflé, et à l'heure de jeu, une faute peu évidente, un contact entre Joao Carlos et Mbokani entraine l'exclusion du défenseur genkois et un penalty que transformait Jovanovic (à contre-pied) pour son 100ème match pour le Standard. D'autant plus dur à avaler pour les joueurs limbourgeois que leur équipe avait fait jeu égal avec les Rouches; si ceux-ci dominaient les vingt premières minutes (Jovanovic plusieurs fois, Carcela), ce sont les Bleus qui s'imposaient le reste de la première période, au point que les hommes de Bölöni regagnaient les vestiaires sous les sifflets. En deuxième période, les coéquipiers de Dalmat reprenaient des couleurs, et vendengeaient deux énormes occasions, Carcela absolument seul devant le gardien passant trop profondément la balle à son coéquipier, et Mbokani, également seul face à Verhulst, tirant à coté. Un tir sur le poteau de Jovanovic venait completer le triste tableau. Dacourt faisait son entrée à un quart d'heure de la fin, insufflant un peu de vivacité à son équipe. Genk se procurait deux occasions dangereuses dans les dernières minutes mais, à l'image de son match (un seul tir cadré sur 17 tentatives!), n'arrivait pas à conclure. L'arbitre ne sifflait pas une main de Joneleit dans la surface limbourgeoise à la dernière minute (tout comme il n'avait pas sifflé une main de Felipe dans le rectangle liégeois), et les Standardmen étaient tout heureux d'empocher les trois points qui les propulsent à la deuxième place (à la différence de buts). Mais le directeur sportif (et ancien entraineur) Domnique D'Onofrio reconnait volontiers que l'équipe n'a pas le niveau de la saison passée. Reste que le Standard est toujours la seule équipe invaincue de la Jupiligue, toutes les autres équipes (à part Bruges) comptant au moins deux défaites... Et c'est aussi l'équipe qui alimente le buzz médiatique: Wiltord est annoncé arrivant (malgré un démenti de D'Onofrio), tandis que Defour serait dans le viseur d'Arsenal et Jovanovic sur les tablettes de l'Atletico Madrid et de Valence...




La trêve internationale de deux semaines sera profitable pour soigner les troupes, et la prochaine journée ne présentera pas d'affiche notables, à l'exception de Bruges-La Gantoise; les deux dauphins recevront également, Charleroi montant à la capitale et Zulte-Waregem se déplaçant dans la cité ardente.


Commentaires
 1 


341 / 852
1Didier_Fle 08/10/09 à 12h16

Merci beaucoup, nominoe.


26 / 236
2nominoele 08/10/09 à 12h57

Mais de rien, mon bon.

Et désolé (à tous) pour l'absence des journées 8 et 9, due au couplage d'un métier très prenant (chronométriquement parlant, hein) et d'une absence de tout moyen d'enregistrement des émissions idoines...

(et pourquoi je peux pas rajouter une 'tite vignette pour les journées 6 et 7 ?)


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